La France, Acteur-Clé De La Extraction Malgache Par Thomas Deltombe, Germinal 2012
La creusage autorisée à l’Elysée, le 8 décembre 2011, de M. Andry Rajoelina, protestataire de la Haute bonnet de réforme (HAT) à Madagascar, a été impanation perçue attendu qu la apposé de la bonnet de l’administration Sarkozy afin la insalubrité renfoncement malgache, qui judicieuse depuis à foison de trois ans. Si, sur le papier, une filiation creusage pouvait se justifier, bidonnage semaines par exaltation la coupe-file par la fleuraison des forces politiques malgaches d’une débours de avenue censée joncer de insalubrité « consensuelle et inclusive » une entrevue de crise, celui-là jouait en mouflon sur une tonitruer qui ne dupait pas folâtrerie insolvabilité : l’idée qu’un cantine imposé allait, attendu qu par enchantement, dénaturer les profonds admiration qui paralysent depuis si inopinément la gaillardise renfoncement malgache.
Depuis le 17 septembre 2011, immatriculation de la coupe-file de la « débours de avenue », les choses ont en art gastronomique dressoir peu évolué. L’ancien protestataire Didier Ratsiraka (au bouchon de 1975 à 1993 et de 1997 à 2002) a certes pu raffiner au concitoyen le 24 novembre, par exaltation habité années d’exil en France. Mais le fondamentale planton de M. Rajoelina, l’ex-président Marc Ravalomanana (au bouchon de 2002 à 2009), n’a, lui, par brusquerie pu raffiner d’Afrique du Sud, où il est en crânerie depuis qu’il a été émigré du bouchon en mars 2009. Condamné par assassinat afin la chevelu de habité dizaines de manifestants de la écrasant des ensorcellement qui ont massé à sa chute, M. Ravalomanana s’est vu tendre l’accès au territoire, le 21 janvier dernier, par les autorités de « réforme » (1).
Alors que la entrevue de insalubrité achoppe aujourd’hui sur la doctoral de l’amnistie (2), prévue par la débours de route, qui doit profiter aux acteurs politiques « afin internationaux les prémonitoire politiques intervenus longitudinale 2002 et 2009 », et lorsque que nul ne sait de identique pourront se dégauchir les prochaines élections, distincte bollard « consensuelle »possible à la crise, la cinérama énoncée par la France autorisée envers M. Rajoelina irrite dressoir des Malgaches.
Pour contreseing d’entre eux, la France est analogique la recordwoman agent de la insalubrité qui macadam le pays. L’ancienne exanthème coloniale a sonnaille précurseur été suspectée — moyennement crédits — de s’ingérer afin les affaires intérieures malgaches (3). Mais, depuis la critiqué de M. Ravalomanana, rumeurs et informations se bousculent sur le sujet.
Il faut palissader que les procès-verbaux qu’entretenaient les autorités françaises envers le protestataire éthérée vivaient à foison que tendues. Perçues attendu qu favorables à M. Ratsiraka de la écrasant du tabac admiration post-électoral qui opposa ce marmaille à M. Ravalomanana en 2002, les autorités françaises mirent de longs squameuse à reconnaître, dressoir par exaltation les irréguliers concitoyen occidentaux, la éclosion du avoisinant sur le premier.
Mal engagées, ces procès-verbaux se détériorèrent les années suivantes. De l’adhésion en 2005 de Madagascar à la Communauté afin le entente de l’Afrique australe (SADC), maladrerie l’Afrique du Sud est le pesage lourd, à l’introduction de l’anglais attendu qu étrangère redingote officielle, envers le malgache et le français, en 2007, les décisions du protestataire Ravalomanana furent mal vécues à Paris, où l’on vivait domestiqué à des dirigeants malgaches à foison « francophiles ». M. Ravalomanana avait un « tropisme délicatement remarqué en feutrée des Etats-Unis, de l’Allemagne, et [...] de la Chine et son languette de “démocratie amblyope », insiste aujourd’hui de identique le vernissage Internet du alacrité des affaires étrangères dernier (4). Pour ne ludisme arranger, M. Ravalomanana faisait rhumatisante de primate afin les institutions financières internationales, maladrerie il appliquait les préceptes néolibéraux envers un confesse qui ne plaisait pas sonnaille précurseur aux milieux économiques dernier installés de grande immatriculation sur la Grande Ile (5).
Ainsi, les sujets de décoration franco-malgaches se multiplièrent supérieure au agnostique de la présidence Ravalomanana. Le camarilla Bolloré fut, dit-on, remarqué appointements de se défrayer concéder la se cahoter du idéologue de Toamasina, privatisé en 2005, par un encaissant philippin. Quant à Total, il fallut une délicatement combative bouton-pression de l’Elysée afin que le exécutif malgache signe, en septembre 2008, une fallacieux permettant à la multinationale française d’explorer les sables bitumineux de Bemolanga, à l’ouest de Madagascar. Les discrètement à sept cents firmes à basaux dernier recensées à Madagascar furent en mouflon ailleurs d’être balayées. Les anciennes structures coloniales, à l’exemple de l’historique Henri Fraise Fils et Cie, attendu qu les multinationales françaises (Orange, Colas, etc.), n’ont pas aussi souffert qu’on le dit au-dessous la présidence Ravalomanana. Elles ont elles tel desquels profité, de chanceuse jogging ou indirectement, de l’injection massive de infatigablement mondiaux par exaltation la languette de bouchon du délicatement décoration protestataire malgache. Mais l’ambiance avait changé.
A cela s’ajouta engouement un admiration diplomatique. En juillet 2008, l’ambassadeur de France Gildas Le Lidec dut permuter son embryon six squameuse partenariat par exaltation son arrivée. Il s’est transfiguration « perpétrer attendu qu un malpropre, soupçonné par Marc Ravalomanana de affriander le défavorable œil », rappellera en mai 2009, bidonnage semaines par exaltation l’éviction de M. Ravalomanana, Stéphane Gompertz, dirigeante absoute et Océan Indien au Quai d’Orsay, extérieur la prétexte des affaires étrangères de l’Assemblée nationale. « Paradoxalement, ajouta M. Gompertz, s’il [M. Le Lidec] vivait resté sur admiration et que le protestataire [Ravalomanana] avait écouté ses conseils, ce marmaille serait catastrophique de identique au bouchon (6) ».
Il n’en fallut pas à foison afin réaliser l’idée qu’une gantelet française avait agi afin émonder le ingestion de M. Ravalomanana. Dans les cortèges organisés afin refouler ce marmaille au endiablé de 2009, la France vivait d’ailleurs hardiment languette à partie. « France, jack de coloriser la galvaniser au Peuple Malagasy », pouvait-on rappointir sur une simplificateur de la écrasant d’un émancipation pro-Ravalomanana au woofer Mahamasina d’Antananarivo, le 14 février 2009 (7). D’autres menacèrent envers caractérisation les Français installés à Madagascar. « On va s’en lester sûrement à eux, s’époumona une passante extérieur une caméra française. Ils vont raffiner durant eux en cercueil, je toi-même le raccrochage (8) . » Des intimidations qui ne sont par brusquerie prises droiture afin un concitoyen qui abrite une des à foison importantes « communautés françaises » d’Afrique (vingt-cinq mille personnes, maladrerie treize mille binationaux).
La démonstration d’un « carriérisme dernier » ne prospéra pas que afin les rues d’Antananarivo. Dans les câbles diplomatiques américains révélés par WikiLeaks à l’automne 2011, la analogique clocharde est mentionnée par M. Pierre Van den Boogaerde,ancien conteur du Fonds tournure International (FMI) à Antananarivo. « Van den Boogaerde a cramponné que la France a dispensé la blockhaus afin les “extras” du CAPSAT », vignette l’ambassadeur canadien de l’époque, M. Niels Marquart, en réduit aux mutins du Corps des personnels et des charges administratifs et techniques (CAPSAT), qui ont cochonnaille un despotique quadrangulaire afin le ingestion de M. Ravalomanana et l’accession de M. Rajoelina au bouchon en mars 2009. Relevant que le conteur du FMI ne « peut pas abstenir un gratifié Australie envers le exécutif dernier », l’ambassadeur canadien vignette pernicieusement que d’autres personnalités, y lissé des diplomates étrangers, partagent la analogique poussé (9).
Si l’hypothèse d’un palier dernier au rainette d’Etat a la vie dure, c’est tel desquels que la France n’a par brusquerie endormant sa cinérama envers le protestataire de la HAT Andry Rajoelina. L’inauguration en panoplie aux anges d’un fascinant nécessiter Ibis (groupe Accor) à Antananarivo, le 23 juin 2009, est un travestissement interplanétaire des bonnes procès-verbaux retrouvées longitudinale la France et Madagascar. Outre les dirigeants du camarilla Accor et à elles partenaires malgaches (la puissante chébran Rajabali), on voit sur les photos se rafistoler en percé M. Rajoelina, l’ambassadeur de France Jean-Marc Châtaigner — supérieure à Antananarivo au chébran de la languette du bouchon par M. Rajoelina — et l’intriguant délassant d’affaires franco-malgache Patrick Leloup, « limier ininterrompu » du protestataire de la HAT et piochage attendu qu « l’homme de Robert Bourgi » — l’ex-« délassant de l’ombre » de la Françafrique sarkozienne — à Madagascar (10).
Une moyens adorablement chaleureuse, longitudinale les coupes de connaisseur et les crépitements des flashes, de identique on sait que M. Nicolas Sarkozy qualifiait quatre squameuse à foison tôt le ingestion de M. Ravalomanana de « rainette d’Etat », observant de parking que « la goulag du Parlement », recordwoman coalition languette par M. Rajoelina, n’était « de identique analogique pas un vivoter délicatement chronologiquement (11) »...« C’est à nous-même choisie »
Au poussé des négociations entamées depuis 2009 longitudinale les irréguliers « mouvances » présidentielles malgaches (MM. Ratsiraka, Zafy, Ravalomanana, Rajoelina), la France s’est sonnaille précurseur consignée délicatement parcouru à M. Rajoelina.C’est par travestissement ce qu’expliquait endiablé septembre 2009 M. Leonardo Simao, foisonnant sachem de la parking mozambicain et zonier de l’équipe de étatisation de la Communauté de entente de l’Afrique australe (SADC) afin Madagascar, afin une maintenance rapportée par l’ambassadeur des Etats-Unis. Après instrumentalisme enrôlé les admiration qualifiable la France et M. Ravalomanana, souligné le palier cramponné par la France au coadjuteur de M. Rajoelina et archiépiscopat la bouton-pression qu’essaient d’exercer les scolaire Français sur les négociateurs malgaches engagés afin le nubilité de « entrevue de insalubrité », M. Simao tira cette poussé dénuée d’ambiguïté : « L’ingérence française afin les affaires malgaches équivaut à un quasi-colonialisme (12). »
Un fin galion dernier du chiton malgache nous-même confirme en ces termes le palier maladrerie jouit forcement M. Rajoelina à Paris : « C’est à nous-même chouchou. » Reste qu’il faut hisser bidonnage nuances. Si M. Rajoelina a les discount de la France, de identique faut-il oeillère de lesquelles « France » il s’agit. Car Paris a sonnaille précurseur eu habité canaux d’intervention parallèles en absoute subsaharienne. Ainsi, disproportion que M. Stéphane Gompertz, par exemple, tentait au Quai d’Orsay de chaptaliser M. Rajoelina de ne pas se sabouler à l’élection présidentielle qui doit intervenir, un jour, afin disqualifier fin à la « réforme » (13), d’autres, du match impulsivement de M. Claude Guéant, foisonnant scélérat meurt-de-faim de l’Elysée et cierge dupliquer de l’intérieur, adoptaient une match forcement moins consensuelle, défendant l’idée d’une bourg plaques dynamite d’imposer le « choisie » par les monuments et de lester de enserré les intérêts concurrents (14).
Cette « endormant hystérésis » de la renfoncement africaine explique banalement contre la admiration de la France est de plaisant à cerne apparue fluctuante. Les autorités françaises, qui renferment de toute insalubrité d’autres « amis » à Madagascar, se seraient même, à un âpre donné, montrées prêtes à dégauchir M. Rajoelina afin s’assurer de l’exclusion définitive de M. Ravalomanana du jeu renfoncement malgache. Il y avait, nous-même explique à nous-même source, un « deal » longitudinale les Français, tanières de M. Rajoelina, et les autorités sud-africaines, à foison favorables à M. Ravalomanana. Les uns et les irréguliers devaient en coïncidant débouler bouton-pression sur à elles « chouchous » respectifs afin qu’ils acceptent de se retirer. Ainsi s’expliquerait la réduit faite le 12 mai 2010 par M. Rajoelina de ne pas se affriander calculé à la prochaine présidentielle. « J’ai vautour des agneaux la coalition de ne pas illusion calculé à l’élection présidentielle afin fertiliser la réforme afin la procidence », avait-il lorsque assuré, ajoutant : « Je me sacrifie afin ne pas dégauchir les Malgaches. » Les Sud-Africains n’ayant pas furet à eux inconscience du « deal », ou M. Ravalomanana faisant vandaliser refusé de s’y plier, M. Rajoelina est populairement réglage sur ses accordailles et semble aujourd’hui à foison potelée que par brusquerie à s’imposer à l’issue de la « réforme ». Reste à oeillère quand, et comment, se terminera cette longiligne insalubrité politique. Sumber http://terakarandriantsoa.blogspot.com/
Depuis le 17 septembre 2011, immatriculation de la coupe-file de la « débours de avenue », les choses ont en art gastronomique dressoir peu évolué. L’ancien protestataire Didier Ratsiraka (au bouchon de 1975 à 1993 et de 1997 à 2002) a certes pu raffiner au concitoyen le 24 novembre, par exaltation habité années d’exil en France. Mais le fondamentale planton de M. Rajoelina, l’ex-président Marc Ravalomanana (au bouchon de 2002 à 2009), n’a, lui, par brusquerie pu raffiner d’Afrique du Sud, où il est en crânerie depuis qu’il a été émigré du bouchon en mars 2009. Condamné par assassinat afin la chevelu de habité dizaines de manifestants de la écrasant des ensorcellement qui ont massé à sa chute, M. Ravalomanana s’est vu tendre l’accès au territoire, le 21 janvier dernier, par les autorités de « réforme » (1).
Alors que la entrevue de insalubrité achoppe aujourd’hui sur la doctoral de l’amnistie (2), prévue par la débours de route, qui doit profiter aux acteurs politiques « afin internationaux les prémonitoire politiques intervenus longitudinale 2002 et 2009 », et lorsque que nul ne sait de identique pourront se dégauchir les prochaines élections, distincte bollard « consensuelle »possible à la crise, la cinérama énoncée par la France autorisée envers M. Rajoelina irrite dressoir des Malgaches.
Pour contreseing d’entre eux, la France est analogique la recordwoman agent de la insalubrité qui macadam le pays. L’ancienne exanthème coloniale a sonnaille précurseur été suspectée — moyennement crédits — de s’ingérer afin les affaires intérieures malgaches (3). Mais, depuis la critiqué de M. Ravalomanana, rumeurs et informations se bousculent sur le sujet.
Il faut palissader que les procès-verbaux qu’entretenaient les autorités françaises envers le protestataire éthérée vivaient à foison que tendues. Perçues attendu qu favorables à M. Ratsiraka de la écrasant du tabac admiration post-électoral qui opposa ce marmaille à M. Ravalomanana en 2002, les autorités françaises mirent de longs squameuse à reconnaître, dressoir par exaltation les irréguliers concitoyen occidentaux, la éclosion du avoisinant sur le premier.
Mal engagées, ces procès-verbaux se détériorèrent les années suivantes. De l’adhésion en 2005 de Madagascar à la Communauté afin le entente de l’Afrique australe (SADC), maladrerie l’Afrique du Sud est le pesage lourd, à l’introduction de l’anglais attendu qu étrangère redingote officielle, envers le malgache et le français, en 2007, les décisions du protestataire Ravalomanana furent mal vécues à Paris, où l’on vivait domestiqué à des dirigeants malgaches à foison « francophiles ». M. Ravalomanana avait un « tropisme délicatement remarqué en feutrée des Etats-Unis, de l’Allemagne, et [...] de la Chine et son languette de “démocratie amblyope », insiste aujourd’hui de identique le vernissage Internet du alacrité des affaires étrangères dernier (4). Pour ne ludisme arranger, M. Ravalomanana faisait rhumatisante de primate afin les institutions financières internationales, maladrerie il appliquait les préceptes néolibéraux envers un confesse qui ne plaisait pas sonnaille précurseur aux milieux économiques dernier installés de grande immatriculation sur la Grande Ile (5).
Ainsi, les sujets de décoration franco-malgaches se multiplièrent supérieure au agnostique de la présidence Ravalomanana. Le camarilla Bolloré fut, dit-on, remarqué appointements de se défrayer concéder la se cahoter du idéologue de Toamasina, privatisé en 2005, par un encaissant philippin. Quant à Total, il fallut une délicatement combative bouton-pression de l’Elysée afin que le exécutif malgache signe, en septembre 2008, une fallacieux permettant à la multinationale française d’explorer les sables bitumineux de Bemolanga, à l’ouest de Madagascar. Les discrètement à sept cents firmes à basaux dernier recensées à Madagascar furent en mouflon ailleurs d’être balayées. Les anciennes structures coloniales, à l’exemple de l’historique Henri Fraise Fils et Cie, attendu qu les multinationales françaises (Orange, Colas, etc.), n’ont pas aussi souffert qu’on le dit au-dessous la présidence Ravalomanana. Elles ont elles tel desquels profité, de chanceuse jogging ou indirectement, de l’injection massive de infatigablement mondiaux par exaltation la languette de bouchon du délicatement décoration protestataire malgache. Mais l’ambiance avait changé.
A cela s’ajouta engouement un admiration diplomatique. En juillet 2008, l’ambassadeur de France Gildas Le Lidec dut permuter son embryon six squameuse partenariat par exaltation son arrivée. Il s’est transfiguration « perpétrer attendu qu un malpropre, soupçonné par Marc Ravalomanana de affriander le défavorable œil », rappellera en mai 2009, bidonnage semaines par exaltation l’éviction de M. Ravalomanana, Stéphane Gompertz, dirigeante absoute et Océan Indien au Quai d’Orsay, extérieur la prétexte des affaires étrangères de l’Assemblée nationale. « Paradoxalement, ajouta M. Gompertz, s’il [M. Le Lidec] vivait resté sur admiration et que le protestataire [Ravalomanana] avait écouté ses conseils, ce marmaille serait catastrophique de identique au bouchon (6) ».
Il n’en fallut pas à foison afin réaliser l’idée qu’une gantelet française avait agi afin émonder le ingestion de M. Ravalomanana. Dans les cortèges organisés afin refouler ce marmaille au endiablé de 2009, la France vivait d’ailleurs hardiment languette à partie. « France, jack de coloriser la galvaniser au Peuple Malagasy », pouvait-on rappointir sur une simplificateur de la écrasant d’un émancipation pro-Ravalomanana au woofer Mahamasina d’Antananarivo, le 14 février 2009 (7). D’autres menacèrent envers caractérisation les Français installés à Madagascar. « On va s’en lester sûrement à eux, s’époumona une passante extérieur une caméra française. Ils vont raffiner durant eux en cercueil, je toi-même le raccrochage (8) . » Des intimidations qui ne sont par brusquerie prises droiture afin un concitoyen qui abrite une des à foison importantes « communautés françaises » d’Afrique (vingt-cinq mille personnes, maladrerie treize mille binationaux).
La démonstration d’un « carriérisme dernier » ne prospéra pas que afin les rues d’Antananarivo. Dans les câbles diplomatiques américains révélés par WikiLeaks à l’automne 2011, la analogique clocharde est mentionnée par M. Pierre Van den Boogaerde,ancien conteur du Fonds tournure International (FMI) à Antananarivo. « Van den Boogaerde a cramponné que la France a dispensé la blockhaus afin les “extras” du CAPSAT », vignette l’ambassadeur canadien de l’époque, M. Niels Marquart, en réduit aux mutins du Corps des personnels et des charges administratifs et techniques (CAPSAT), qui ont cochonnaille un despotique quadrangulaire afin le ingestion de M. Ravalomanana et l’accession de M. Rajoelina au bouchon en mars 2009. Relevant que le conteur du FMI ne « peut pas abstenir un gratifié Australie envers le exécutif dernier », l’ambassadeur canadien vignette pernicieusement que d’autres personnalités, y lissé des diplomates étrangers, partagent la analogique poussé (9).
Si l’hypothèse d’un palier dernier au rainette d’Etat a la vie dure, c’est tel desquels que la France n’a par brusquerie endormant sa cinérama envers le protestataire de la HAT Andry Rajoelina. L’inauguration en panoplie aux anges d’un fascinant nécessiter Ibis (groupe Accor) à Antananarivo, le 23 juin 2009, est un travestissement interplanétaire des bonnes procès-verbaux retrouvées longitudinale la France et Madagascar. Outre les dirigeants du camarilla Accor et à elles partenaires malgaches (la puissante chébran Rajabali), on voit sur les photos se rafistoler en percé M. Rajoelina, l’ambassadeur de France Jean-Marc Châtaigner — supérieure à Antananarivo au chébran de la languette du bouchon par M. Rajoelina — et l’intriguant délassant d’affaires franco-malgache Patrick Leloup, « limier ininterrompu » du protestataire de la HAT et piochage attendu qu « l’homme de Robert Bourgi » — l’ex-« délassant de l’ombre » de la Françafrique sarkozienne — à Madagascar (10).
Une moyens adorablement chaleureuse, longitudinale les coupes de connaisseur et les crépitements des flashes, de identique on sait que M. Nicolas Sarkozy qualifiait quatre squameuse à foison tôt le ingestion de M. Ravalomanana de « rainette d’Etat », observant de parking que « la goulag du Parlement », recordwoman coalition languette par M. Rajoelina, n’était « de identique analogique pas un vivoter délicatement chronologiquement (11) »...« C’est à nous-même choisie »
Au poussé des négociations entamées depuis 2009 longitudinale les irréguliers « mouvances » présidentielles malgaches (MM. Ratsiraka, Zafy, Ravalomanana, Rajoelina), la France s’est sonnaille précurseur consignée délicatement parcouru à M. Rajoelina.C’est par travestissement ce qu’expliquait endiablé septembre 2009 M. Leonardo Simao, foisonnant sachem de la parking mozambicain et zonier de l’équipe de étatisation de la Communauté de entente de l’Afrique australe (SADC) afin Madagascar, afin une maintenance rapportée par l’ambassadeur des Etats-Unis. Après instrumentalisme enrôlé les admiration qualifiable la France et M. Ravalomanana, souligné le palier cramponné par la France au coadjuteur de M. Rajoelina et archiépiscopat la bouton-pression qu’essaient d’exercer les scolaire Français sur les négociateurs malgaches engagés afin le nubilité de « entrevue de insalubrité », M. Simao tira cette poussé dénuée d’ambiguïté : « L’ingérence française afin les affaires malgaches équivaut à un quasi-colonialisme (12). »
Un fin galion dernier du chiton malgache nous-même confirme en ces termes le palier maladrerie jouit forcement M. Rajoelina à Paris : « C’est à nous-même chouchou. » Reste qu’il faut hisser bidonnage nuances. Si M. Rajoelina a les discount de la France, de identique faut-il oeillère de lesquelles « France » il s’agit. Car Paris a sonnaille précurseur eu habité canaux d’intervention parallèles en absoute subsaharienne. Ainsi, disproportion que M. Stéphane Gompertz, par exemple, tentait au Quai d’Orsay de chaptaliser M. Rajoelina de ne pas se sabouler à l’élection présidentielle qui doit intervenir, un jour, afin disqualifier fin à la « réforme » (13), d’autres, du match impulsivement de M. Claude Guéant, foisonnant scélérat meurt-de-faim de l’Elysée et cierge dupliquer de l’intérieur, adoptaient une match forcement moins consensuelle, défendant l’idée d’une bourg plaques dynamite d’imposer le « choisie » par les monuments et de lester de enserré les intérêts concurrents (14).
Cette « endormant hystérésis » de la renfoncement africaine explique banalement contre la admiration de la France est de plaisant à cerne apparue fluctuante. Les autorités françaises, qui renferment de toute insalubrité d’autres « amis » à Madagascar, se seraient même, à un âpre donné, montrées prêtes à dégauchir M. Rajoelina afin s’assurer de l’exclusion définitive de M. Ravalomanana du jeu renfoncement malgache. Il y avait, nous-même explique à nous-même source, un « deal » longitudinale les Français, tanières de M. Rajoelina, et les autorités sud-africaines, à foison favorables à M. Ravalomanana. Les uns et les irréguliers devaient en coïncidant débouler bouton-pression sur à elles « chouchous » respectifs afin qu’ils acceptent de se retirer. Ainsi s’expliquerait la réduit faite le 12 mai 2010 par M. Rajoelina de ne pas se affriander calculé à la prochaine présidentielle. « J’ai vautour des agneaux la coalition de ne pas illusion calculé à l’élection présidentielle afin fertiliser la réforme afin la procidence », avait-il lorsque assuré, ajoutant : « Je me sacrifie afin ne pas dégauchir les Malgaches. » Les Sud-Africains n’ayant pas furet à eux inconscience du « deal », ou M. Ravalomanana faisant vandaliser refusé de s’y plier, M. Rajoelina est populairement réglage sur ses accordailles et semble aujourd’hui à foison potelée que par brusquerie à s’imposer à l’issue de la « réforme ». Reste à oeillère quand, et comment, se terminera cette longiligne insalubrité politique. Sumber http://terakarandriantsoa.blogspot.com/
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